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Quoi de plus logique, lorsqu’on se trouve dans la Capitale Olympique, que d’aller visiter le musée consacré aux Jeux ? 3… 2… 1… GO : on part pour une visite qui retrace l’Histoire de la plus grande compétition multisports moderne, de la Grèce antique jusqu’aux éditions à venir.
Le parc Olympique
En se promenant sur les quais de Belgique, il est impossible de rater le Musée Olympique. Au bord de la route, l’immense fontaine qui marque l’entrée du parc Olympique attire chaque jour les touristes et curieux pour une séance photo.
Une fois la séance terminée, la visite débute dans les jardins du musée, où l’on retrouve des sculptures et des œuvres d’art qui rappellent les Jeux.
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Au sommet des marches, on s’arrête quelques instants au niveau de la piste de sprint, pour tester son aptitude au départ éclair et peut-être battre Usain Bolt. (Qui sait ?) Une fois passé sous la barre du saut en hauteur, placée au niveau du record du monde, on entre alors dans le musée.
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L’exposition permanente
L’histoire des Jeux
L’exposition permanente du Musée Olympique nous emmène découvrir l’Histoire des Jeux. La visite débute avec un vrai bond dans le passé, à l’ère des Jeux Olympiques antiques. Dans la première salle, une animation 3D nous permet de nous plonger dans l’ambiance des Jeux sur le site d’Olympie et d’admirer la recomposition de la statue de Zeus. Et oui, avant de devenir le rendez-vous sportif qui passionne des millions de téléspectateurs, la compétition était organisée en l’honneur du père des dieux de la mythologie grecque.
Au détour d’une paroi, on se retrouve en 1894, devant une immense peinture de Pierre de Coubertin, fondateur du Comité International Olympique basé à Lausanne depuis 1915. La visite se poursuit avec deux des symboles forts du mouvement olympique : les anneaux et les torches. Les explications qui les accompagnent nous permettent d’en apprendre plus sur ces deux symboles et sur chacune des torches des Jeux.
L’exposition s’intéresse naturellement à la ville organisatrice, aux infrastructures (qui ne se souvient pas du stade et de la piscine de Pékin ?), à l’Histoire et même aux mascottes. Le premier étage de la visite se finit avec une vidéo sur les spectaculaires cérémonies d’ouverture.
Les athlètes et les disciplines olympiques
Nous sommes donc prêts à passer au sport ! L’étage inférieur de l’exposition permanente est entièrement dédié aux athlètes. Des centaines d’équipements qui ont appartenu aux athlètes olympiques. Plus que des skis, chaussures, casques ou raquettes, ce sont des pièces d’histoires que l’on peut observer.
Au milieu de la pièce, la visite devient immersive. Un montage spectaculaire nous plonge en plein cœur de l’action et nous permet de suivre des athlètes au plus près.
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Le village olympique
Remis de nos émotions, on passe au dernier niveau de la visite, avec le village olympique. Oui, parce que les Jeux c’est également de la logistique : des milliers d’athlètes qu’il faut nourrir et loger pendant toute la durée des compétitions. La visite aborde également plusieurs thèmes comme la technologie dans le sport et l’entraînement des sportifs.
On peut d’ailleurs exercer nos aptitudes – équilibre, concentration, réflexes, précision – dans une partie interactive de l’exposition. C’est le moment de se confronter aux athlètes, en essayant par exemple de battre le record d’un gardien de Handball sur un mur interactif.
La visite se termine avec une présentation des médailles des différentes éditions des Jeux depuis 1896. Et avant de sortir, on profite de faire une photo sur le podium des Jeux de Sydney, devant une citation de Pierre de Coubertin :
« L’important dans la vie, ce n’est point le triomphe, mais le combat. L’essentiel n’est pas d’avoir vaincu, mais de s’être bien battu. »
Pour terminer ce bel après-midi et avant de quitter le musée, on fait un petit détour pour un verre au restaurant du Musée Olympique, avec la magnifique vue sur le parc du musée et le Léman et à la boutique pour un petit souvenir. On opte pour une peluche de mascotte ou une affiche vintage d’une édition des Jeux (on a un petit faible pour le design de celle de Mexico, en 68). ?
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