L’Olympisme trouvera, dans l'atmosphère indépendante et fière que l'on respire à Lausanne, le gage de la liberté dont il a besoin pour progresser
Par ces mots, prononcés en 1915 lors d’une réception officielle à l'Hôtel de Ville, Pierre de Coubertin annonce l'installation du Comité International Olympique (CIO) à Lausanne. Et il faut bien dire que depuis lors, les Jeux Olympiques y sont partout ! Niché au cœur d'un superbe parc surplombant le lac, l’emblématique Musée Olympique met en lumière les temps forts du sport et les objets fétiches des jeux, rappelant l'engagement indéfectible du CIO pour le sport populaire et de compétition. Un dynamisme qui contribue largement à faire rayonner Lausanne dans les sphères internationales du sport. Ainsi, de nombreux championnats d'Europe et du monde s'y déroulent depuis des décennies, dans des disciplines aussi différentes que le curling, la gymnastique, le badminton ou le patinage artistique. Les activités du CIO ont en effet favorisé la venue d'une quinzaine de fédérations sportives internationales et d'autres instances sportives de premier plan.
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Fondé par le CIO il y a plus de 30 ans au creux d’un écrin exceptionnel, Le Musée Olympique met à l’honneur les piliers de l’Olympisme que sont le sport, l’art et la culture, à la faveur d’installations modernes et interactives.
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C'est le nom donné à une partie de la place de la Navigation, inaugurée en mai 1995. Tel un hommage au visionnaire gardien des Jeux Olympiques, ce vaste lieu de divertissement et de détente s'ouvre sur le port de plaisance.
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Saviez-vous que le Baron de Coubertin s’adonnait régulièrement aux joies de l'aviron ? C’est aussi l'un des nombreux sports pratiqués à Lausanne, et il faut bien dire que le Club de Vidy offre aux amateurs un cadre tout à fait idyllique.
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Témoin des premiers rendez-vous d’Athletissima en 1977, le Stade Pierre-de-Coubertin - situé dans le quartier de Vidy et nommé d’après le fondateur des Jeux Olympiques - possède notamment une piste d’athlétisme de 400 mètres
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Avec sa longue allée centrale bordée d'une double rangée de tilleuls, ses massifs fleuris, ses bassins où dansent des nénuphars et ses bancs pour admirer la vue, le Bois-de-Vaux se trouve être la dernière demeure de Pierre de Coubertin. Il est d’ailleurs l'un des rares cimetières de sa capacité (26'000 emplacements) à disposer d'un tel charme.
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Dominant la pittoresque place de la Palud de son beffroi, l’imposant édifice de l’Hôtel de Ville accueillait en 1915 la cérémonie de transfert du CIO, en présence de Coubertin et de Blonay. Il abrite encore aujourd’hui une partie de l’administration communale.
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C’est en 1913 que le Palais de Rumine accueille le 5e congrès olympique, celui de psychologie et physiologie sportives. Aujourd’hui, l’édifice abrite les musées cantonaux de géologie, de zoologie, d’archéologie et d’histoire, le Musée monétaire cantonal ainsi que la Bibliothèque cantonale et universitaire.
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Coubertin y loge juste après son arrivée à Lausanne. La Villa devient ensuite le siège et les archives du CIO, ainsi que le premier Musée Olympique. Aujourd’hui elle abrite notamment les salons de réception de la Ville.
